L’idée que l’agriculture « intensive » ou « conventionnelle » soit responsable de « la mort des sols agricoles » est largement répandue dans le grand public. Or la notion même d’état de santé d’un sol n’est pas triviale. L’état de santé d’un sol peut-il être caractérisé, comme on le fait pour un être humain, et si oui, comment ? Selon quels critères un sol est-il déclaré « malade » ou « mort » ?

Une conférence de Matthieu Bravin, chercheur au Cirad, agronome, biogéochimiste du sol, spécialiste de la gestion de la fertilité et de l’évaluation du risque de pollution des sols agricoles.

Le débat public sur la culture du palmier à huile, en particulier en Europe, est biaisé. Si de bons arguments soulignent les impacts négatifs de ces cultures, d’autres éléments existent qui pourraient permettre de redresser le débat et de le rendre plus efficace pour aller dans le sens de la durabilité et de l’équité. Une conférence de Cécile Bessou, agronome, chercheuse au CIRAD, spécialisée dans l’analyse des impacts environnementaux de la production agricole et de Bruno Rapidel, agronome au CIRAD, spécialiste des systèmes agroforestiers à base de caféiers et cacaoyers.

Censée utiliser moins de pesticides que l’agriculture biologique, la biodynamie se présente comme un cadeau pour la biodiversité. Mais derrière cette belle affiche se cachent les griffes acérées de l’anthroposophie, un mouvement occulte et spirituel aux racines racialistes et aux idées pseudo-scientifiques.
Des plus petites molécules du sol aux astres réincarnés, Cyril Gambari nous fait voyager aux côtés des ondines et des gnomes pour découvrir les bizarreries, de la biodynamie.

Une conférence de Cyril Gambari, professeur de Biologie et d’écologie au Lycée Professionnel Agricole Claude Simon de Rivesaltes.

Une conférence de Jean-Louis Aguilar, infirmier diplômé d’État, praticien en Art-thérapie. titulaire de plusieurs diplômes universitaires, et enseignant-vacataire des universités de Toulouse et de Barcelone. Jean-Louis Aguilar, met en parallèle, pour les confronter, l’art-thérapie thérapeutique et l’art-thérapie commerciale et montre comment les charlatans et les business-thérapeutes se sont emparés de cet outil de soin.