« Les noyaux d’abricots, vous dis-je ! Les noyaux d’abricots ! »

Le texte qui suit sur les bienfaits des noyaux d’abricots dans la prévention du cancer illustre quasiment à la perfection tous les biais de ce genre d’argumentaire pseudo médical quel qu’en soit le sujet. Tous les ingrédients de la médecine « non basée » sur des preuves sont là (transmis par Gilles Roche) :

  • Une histoire sympa racontée (civilisation ancienne, etc.)
  • La nostalgie des médecines primitives (« nos anciens »)
  • Le charabia pseudo-scientifique, une théorie expliquant pourquoi ça devrait marcher
  • Les théories d’intoxication/désintoxication
  • Le mélange avec des choses vraies
  • L’affirmation « des études… de nombreuses études… toutes les études… ont montré que…)
  • L’absence d’études cliniques sérieuses
  • Le complotisme et la victimisation
  • Le médecin incompris (comme Galillée…)
  • Le cas remarquable raconté (non vérifiable…), voire plusieurs, les témoignages saisissants
  • Le succès populaire comme preuve
  • L’argument d’autorité
  • L’argument du prix et de la bonne tolérance
  • Le détournement des malades des vrais traitements, sans en avoir l’air

Le texte incriminé :

Dans le début des années 1950, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T. Krebs, apprirent qu’au royaume des Hunzas, dans les montagnes himalayennes situées au nord du Pakistan, il y avait un peuple qui vivait apparemment « sans cancer ». Cette particularité du peuple des Hunzas interpella beaucoup de chercheurs et différentes hypothèses ont été émises depuis. Certains se sont orientés vers l’eau qu’ils buvaient, mais les Docteurs Krebs s’orientèrent vers une autre piste, les abricots dont ils étaient friands.
Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T. Krebs, Jr. ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe père et fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter de carences, particulièrement en vitamines.
Dans le début des années 1950, ils apprirent qu’au royaume des Hunzas, dans les montagnes himalayennes situées au nord du Pakistan, il y avait un peuple qui vivait apparemment « sans cancer ». Cette particularité du peuple des Hunzas interpella beaucoup de chercheurs et différentes hypothèses ont été émises depuis. Certains se sont orientés vers l’eau qu’ils buvaient, mais les Docteurs Krebs s’orientèrent vers une autre piste.
Ils savaient que les habitants de la région mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer… jusqu’à ce qu’ils aient découvert que les Hunzakuts mangeaient également les amandes des noyaux d’abricots ; leur particularité : on sait que ces amandes sont très riches en nitrilosides. En outre, on les trouve aussi dans les amandes (d’amandiers), graines de pêches, pépins de pommes (pectine), millet, fèves germées, sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, mais en quantité inférieure.
NOTA : seuls les abricots producteurs d’amandes amères sont efficaces
Les Dr. Krebs ont ensuite défini que le principe actif des nitrolosides était précisément dans certains glycosides qu’ils réussirent à extraire. Finalement,ils ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides qu’ils baptisèrent du nom de Laetrile, en vue d’une utilisation clinique.
Ce Laetrile fut ensuite catalogué Vitamine B17.
Des noyaux d’abricot tout simplement
Il s’est avéré que les Hunzakuts consomment entre 100 à 200 fois plus de B17 que l’Américain moyen, en raison principalement du fait qu’ils consomment des amandes de noyaux d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, là-bas, la richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. La nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre.L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Le cyanure… Voilà pourquoi on n’a pas entendu parler de la vitamine B17
Cela semble si simple ! La vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia médicale a monté avec grand succès des campagnes effrayantes, basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure, alors que c’est faux !
Voici pourquoi : chaque molécule de vitamine B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde, et deux unités de glucose qui sont verrouillées ensemble et forment une synergie inoffensive comme cela se passe souvent dans les produits naturels.
Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut le déverrouiller de la molécule B17 ; or ceci ne peut être effectué que par une enzyme appelée beta-glucosidase, qui est présente partout dans le corps humain en quantités infimes, mais par contre que l’on trouve en grande quantité dans les cellules cancéreuses. Tiens, tiens…Très intéressant !
Le résultat est d’autant plus dévastateur pour les cellules cancéreuses que les unités benzaldéhyde se déverrouillent en même temps ; or le benzaldéhyde qui est déjà un poison mortel en lui-même, quand il fait équipe avec le cyanure, devient 100 fois plus mortel. Les cellules cancéreuses sont littéralement désintégrées !

Est-ce sans danger pour les cellules saines ?
Il faut savoir que dans les tissus sains, une autre enzyme, le rhodanèse, présente en quantités beaucoup plus importantes que l’enzyme de déverrouillage, la beta-glucosidase, a la capacité de dégrader entièrement à la fois le cyanure et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un antidouleur de la famille de l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanèse, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.
Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales (ce qui est loin d’être le cas de la chimio). Çà, c’est une très mauvaise nouvelle pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots sont à la portée de n’importe quel porte-monnaie, au regard des prix exorbitants des cocktails médicamenteux agressifs de la chimiothérapie.

L’histoire de Jason Vale
Dans les années 90, l’Américain Jason Vale s’est retrouvé avec un cancer en phase terminale. Il était considéré comme irrécupérable par les médecins. Grâce à des recherches personnelles, il a appris que les gens qui avaient eu un cancer avaient pu guérir grâce à la vitamine B17 des pépins de pommes (pectine) et des amandes de noyaux d’abricots. Sans attendre il a commencé à en consommer dans le cadre de son régime alimentaire quotidien et s’est rapidement senti mieux. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a complètement disparu.
Lorsque l’histoire extraordinaire de Jason fut diffusée à la télévision nationale, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante. L’enthousiasme des spectateurs fut tel que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a aidé des milliers de gens à traiter avec succès leur cancer en consommant des amandes de noyaux d’abricot.
C’est alors que Jason fut victime d’une opération coup de poing, décidée par la FDA : il fut condamné le 18 juin 2004, à 63 mois de prison et 3 ans de liberté surveillée, par un tribunal du District Est de New York. Son crime ? La vente d’amandes d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la vérité sur leurs propriétés curatives. On ne joue pas avec la mafia du médicament !!! Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt début 2008.

Extrait des témoignages adressés à Jason
Je n’ai sélectionné ici que quelques témoignages très récents. Il y a des quantités d’autres témoignages sur le site de Jason (www.apricotsfromgod.info). Malheureusement c’est en anglais avec option automatique de traduction charabia…
5 octobre 2014, Laine Crandall
« Il y a deux ans j’ai été diagnostiqué stade 4 d’un cancer de la prostate et des os. Six mois après j’ai été diagnostiqué en rémission. Mon PSA était passé de 128 à 0,2. Je n’ai pas eu de chimio ni de radiothérapie, j’ai seulement pris des amandes amères d’abricot. Je continue à en manger 12 par jour et je continuerai à le faire. J’ai 74 ans. Je parle constamment de vos graines d’abricot aux autres et je leur donne une carte que j’ai imprimée avec votre site web, numéro de téléphone ». <kalamalka@msn.com>
Septembre 2014. Jason Browning avait un gliome kystique. Il était toujours là après la chimio et la radiothérapie. Jason a commencé à prendre les graines d’abricot ; la tumeur rétréci et finalement disparu. En plus, il a pu arrêter son médicament contre l’hypertension artérielle. <browning38821@yahoo.com>.
28 avril 2014. Jeffery Moore qui a été diagnostiqué avec le cancer de la prostate il y a trois ans m’a appelé pour me dire que son PSA était passé de 12 à 8 ; mais surtout son cancer du nez qui avait été diagnostiqué l’année dernière par une biopsie, est apparu résolu à la dernière biopsie. Il mange les graines d’abricot, prend de l’herbe de blé, et du curcuma – il a aussi supprimé complètement le sucre.< j_mooare@yahoo.com>
13 avril 2014. La chienne Labrador de Diane Duhaime avait été diagnostiquée avec le cancer de la mamelle l’an dernier à l’âge de 10 ans et opérée. Diane lui a immédiatement donné 6 graines d’abricot matin et soir. Aujourd’hui, un an plus tard, la chienne va bien, et signe important, son poil est plus beau que jamais.

Réflexions et conclusions
• Il est évident que concernant le cancer, cette cure est beaucoup moins compliquée que la cure Gerson ou Breuss.
• En revanche, on peut remarquer que la maladie risque de redémarrer si l’on arrête les amandes amères d’abricot, ce qui signifie que l’on n’a pas traité le problème à fond.
Dans la cure Gerson, il est bien expliqué que la cause première des maladies est l’intoxication massive, et que la désintoxication cellulaire est la priorité absolue qui bien souvent suffit à débloquer les processus de guérison.
• La logique du raisonnable est donc d’associer les deux protocoles, ce qui ne peut qu’accélérer le retour à la santé. D’ailleurs, on peut constater dans les témoignages que beaucoup ont modifié leur alimentation en supprimant radicalement les produits laitiers, la viande et le sucre.
• Il paraît un peu surprenant que certains malades prennent à la fois des amandes amères et du laetrile (vit B 17). Et pourquoi pas simplement augmenter les doses d’amande ? Car on sait que les mélanges naturels présentent un équilibre synergique rarement agressif pour l’organisme, ce qui n’est pas le cas des molécules isolées – d’autant plus si elles sont de synthèse.
• La posologie :
En préventif au long cours : 3 amandes pulvérisées au petit-déjeuner
En curatif : 8 amandes pulvérisées matin et soir. Attention ! La dose est forte et certaines personnes pourraient ne pas la supporter, notamment les personnes dont le foie, très engorgé, pourrait ne pas supporter le supplément de déchets cellulaires généré par les amandes. Ceci concerne en particulier les personnes atteintes de cancers avancés dont le foie est surchargé par le traitement allopathique. Dans ce cas, il faut commencer par un solide drainage préventif avec du Desmodium (en cure de trois semaines à démarrer après les traitements).
Remarque : il peut être intéressant d’associer à la cure d’amandes un booster universel tel que le jus d’herbe d’orge ou du GREEN MAGMA (en diététique)
• Reste le problème de l’approvisionnement en amandes amères. Il y a le choix entre différents sites de vente dont les prix se tiennent de près. Certains proposent les amandes amères en poudre ; je ne sens pas bien cette version car je crains une oxydation accélérée risquant d’altérer l’efficacité du produit. Il est facile de pulvériser les amandes soi-même avec un petit blender ou un ancien moulin à café électrique.
Nous avons retenu une adresse nous paraissant sérieuse et sympathique : Santé Bio Europe qui commercialise des paquets de 1 kg d’amandes bio pour 25 € environ (port compris).
Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com