De la mouche à l’homme

« de 10 »

Le 19 juin 2021, au lieu dit l’olivette aimablement mis à disposition par Gilles Roche, s’est tenu la dernière séance de la saison du CZLR avec un atelier intitulé « De la mouche à l’homme », animé par Isabelle Busseau. Cet atelier « Drosophiles » avait deux objectifs :

Connaissances scientifiques, valeurs et pratiques sociales

Pierre Clément

Pierre Clément, Docteur en biologie animale, est spécialiste de la didactique et de l’épistémologie de la biologie. Il a coordonné un grand projet financé par l’Europe, Biohead-Citizen (Biology, Health and Environmental Education for Better Citizenship), centré sur les interactions entre « Connaissances scientifiques, valeurs et pratiques sociales », qui font l’objet de l’exposé présenté ici (séance du CZLR du 29 juin 2021).

Ci-dessous enregistrement intégral de la présentation de Pierre Clément

Ci-dessous enregistrement intégral de la session questions réponses, suite à l’exposé de Pierre Clément.

Powerpoint associé à la présentation de Pierre Clément. Cliquez sur ce lien.

Origine et chemins de la génétique

Présentation effectuée en visio conférence le 10 avril 2021 par Isabelle Busseau, docteure en génétique et biologie moléculaire et cellulaire, chercheuse à l’Institut de Génétique Humaine (IGH, rattaché au CNRS et à l’université de Montpellier).

Le Powerpoint qui accompagne la présentation.

« Le gène de l’homosexualité : quand la génétique fait fausse route ». Une vidéo qui a accompagné cette présentation.

Du bon (ou du mauvais) choix des statistiques à la lumière de la pandémie

L’exposé de Hervé Seitz, directeur de recherche au CNRS à l’Institut de génétique humaine (Montpellier).
La séance de questions réponses :

Le débat

(Précision : les réponses sont celles d’Hervé Seitz)

* Commentaire : En complément de la démonstration d’Hervé Seitz, on pourrait citer une foule d’informations qui complètent, voire noircissent encore le tableau qui a été fait (et qui n’est pas nouveau) des mensonges et autres manipulations de données, imputables à Didier Raoult et autres Christian Perronne, sans oublier Montagnier et son Nobel en partie usurpé (compte tenu du rôle de Jean-Claude Chermann et Françoise Barré-Senoussi, non mentionné dans les attendus du Nobel, comme le rappelle une participante dans le chat). Un exemple : l’affirmation réitérée, dans la bouche de Didier Raoult, selon laquelle les propos énoncés par un expert reconnus autorisent à faire l’économie de toute validation scientifique (!)